D’abord une suspension de 5 semaines pour alimenter sa réputation que l’on croyait rangée des affaires. Puis une lourde blessure au genou face à Clermont fin février, sur un dur contact qui mettait fin à sa saison prématurément.
Voilà grossièrement à quoi se résume le premier exercice de Lachlan Swinton en France. 12 matchs seulement, 5 petites titularisations et un bilan bien loin des attentes pour celui qui fut engagé par Bordeaux afin d’être le tueur à gages de cette équipe en quête de rudesse devant.
Reste que l’UBB n’a pas eu besoin de lui pour faire 2 finales la saison passée et c’est justement une bonne nouvelle. Car dans les faits, Swinton fera finalement office de recrue supplémentaire en 2025/2026.
TOP 14. Woki dans la cage, Du Preez en homme de main : le XV type (probable) de l’UBB pour 2025/2026
Sur le chemin du retour, il pourrait bientôt tenter de faire valoir son statut d’ancien wallaby (7 capes) et surtout d’un des hommes les plus craints dans le Milieu du Super Rugby. Réputé pour la rudesse de ses interventions et ses épaules en acier trempé, ce beau bébé de la banlieue de Sydney (1m95 pour 113kg) n’a pour l’heure montré que ses mauvais côtés, ou presque.
Passée la phase d’adaptation, celui qui cite d’ailleurs comme idole Bakkies Botha devra désormais montrer qu’il sait aussi être un joueur puissant ballon en main lorsqu’il s’engage avec vigueur sur le rideau adverse, et une option intéressante en touche.
Le genre de garçon dont on jure qu’il aurait rendu de fiers services à Bordeaux en finale du Top 14, lorsque son équipe avec souffert dans la dimension physique face aux Anthony Jelonch, Julien Marchand, Santiago Chocobares et consorts.
Un garçon qui devrait d’ailleurs bien s’entendre avec le poète Jean-Luc Du Preez, lorsque ce dernier débarquera en Gironde après son aventure en Rugby Championship. Histoire de former le genre un tandem rageur qui, s'il n'officiait pas dans le rugby pro, serait certaiment videur en boîte de nuit...
Jacques-Tati-en-EDF
Pourquoi videurs de boîtes de nuit ? René Char était un poète, et pas des moindres, et il jouait au rugby ... Une barraque !!
Michel Sitjar était aussi un poète français qui a eu quelques sélections dans les années 70. Il jouait 3 ème ligne à Agen ...Sacré joueur...
JFMA
Absolument.
Dans le même esprit, Mahyar Monshipour pourrait vider d’une boîte de nuit n’importe quel c***nard aviné, du haut de ses 1,65m, ce qui ne l’empêche pas plus d’être un vrai gentleman.
gilbertgilles
Ah oui alors, sacré joueur Sitjar, tu as bien raison, mais ça nous rajeunit pas ! 😉