RUGBY. 6 Nations. Ange Capuozzo blessé : l'étoile filante absente du ciel italien contre le Pays de Galles
Alors que l'Italie se prépare à affronter le Pays de Galles dans le 6 Nations, la Squadra se retrouve privée de l'un de ses meilleurs éléments : Ange Capuozzo. Crédit image : Screenshot France 2
Alors que l'Italie se prépare à affronter le Pays de Galles dans le 6 Nations, la Squadra se retrouve privée de l'un de ses meilleurs éléments : Ange Capuozzo.

Alors que l'Italie se prépare à affronter le Pays de Galles dans le 6 Nations, la Squadra se retrouve privée de l'un de ses meilleurs éléments : Ange Capuozzo, étoile filante des Azzurri, ne pourra briller, écarté par une blessure.

L'an passé, sa formidable percée pour l'essai avait scellé une victoire historique pour l'Italie, mettant fin à une attente et une série noire de défaites. Cette absence pèse lourd, symboliquement et stratégiquement, pour l'équipe qui avait vu en lui un porte-bonheur vivant et un joueur capable de débloquer une situation par ses folles relances et sa fougue.

Victoire d'une fracture d'un doigt contre l'Écosse, il ne pourra pas aider les siens à tenter de doubler la mise samedi. Après un nul à Lille face au XV de France et un succès la semaine dernière aux dépens du XV du Chardon, les Italiens sont en pleine confiance contrairement à leurs futurs adversaires.

Notez qu'on ne connait pas la durée de l'absence du trois-quart italien. Il pourrait être tenu éloigné des terrains pendant plusieurs semaines. Ce qui serait aussi un coup dur pour le Stade Toulousain. Et ce, même si le champion de France a montré qu'il pouvait performer sans ses internationaux pendant la période des doublons.

Pour remplacer Capuozzo, Lorenzo Pani de Zebre aura l'immense tâche de tenir la barre à l'arrière, un changement parmi d'autres stratégiques opérés par l'entraîneur Gonzalo Quesada. Ces ajustements montrent la volonté de l'Italie de continuer à surprendre malgré les obstacles. Dans le pack, un changement notable avec l'entrée de Lorenzo Cannone, témoigne de la quête perpétuelle de l'équilibre et de la puissance idéale en vue du match. 

15 Lorenzo Pani, 14 Louis Lynagh, 13 Juan Ignacio Brex, 12 Tommaso Menoncello, 11 Monty Ioane,
10 Paolo Garbisi, 9 Stephen Varney,
7 Michele Lamaro (c), 8 Lorenzo Cannone, 6 Sebastian Negri,
5 Federico Ruzza, 4 Niccolò Cannone,
3 Simone Ferrari, 2 Giacomo Nicotera, 1 Danilo Fischetti

Remplaçants : 16 Gianmarco Lucchesi, 17 Mirco Spagnolo, 18 Giosuè Zilocchi, 19 Andrea Zambonin, 20 Ross Vintcent, 21 Manuel Zuliani, 22 Martin Page-Relo, 23 Leonardo Marin

Face à eux, le Pays de Galles, dirigé par Warren Gatland, connaît aussi son lot de changement, cherchant à éviter la cuillère en bois après une série de défaites. Gatland, jamais battu par l'Italie, espère maintenir cette tradition, bien conscient des enjeux.

15. Cameron Winnett, 14. Josh Adams, 13. George North 12. Nick Tompkins, 11. Rio Dyer,
10. Sam Costelow, 9 Tomos Williams ; 
7. Tommy Reffell, 8. Aaron Wainwright, 6. Alex Mann

5. Adam Beard, 4. Dafydd Jenkins (capitaine)
3. Dillon Lewis, 2. Elliot Dee, 1. Gareth Thomas


Remplaçants : 16. Evan Lloyd, 17. Kemsley Mathias, 18 ans. Harri O'Connor, 19 ans. Will Rowlands, 20 ans. Mackenzie Martin, 21 ans. Kieran Hardy, 22 ans. Ioan Lloyd, 23 ans. Mason Grady.

Cette rencontre promet d'être plus qu'un match. Pour l'Italie, c'est l'occasion de prouver que même privée de l'un de ses joyaux, elle peut briller et surprendre. Pour le Pays de Galles, il s'agit de défendre son honneur et d'éviter une marque historiquement négative.

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  • P243151
    14485 points
  • il y a 1 mois

Victoire d’un doigt donc ça va être un score serré…..

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