25 pénalités gagnées en 6 matchs, cette mêlée du TOP 14 écrase littéralement la concurrence
Ils ne font pas de bruit, mais ils font très mal : le pack du Stade Français domine les mêlées comme personne, avec 25 pénalités récoltées en 6 journées. Crédit image : Screenshot Youtube Stade Français Paris
Depuis le début du Top 14, le Stade Français a transformé chaque mêlée en machine à pénalités. Avec 25 coups de sifflet en leur faveur, les Parisiens écrasent la concurrence.

Depuis le début de la saison, une certitude se dégage du côté de Jean-Bouin : la mêlée parisienne est redevenue une arme de destruction massive.TRANSFERT. 1,86 m pour 123 kg : un renfort explosif pour la mêlée du Stade FrançaisTRANSFERT. 1,86 m pour 123 kg : un renfort explosif pour la mêlée du Stade Français

Et ce n’est ni Toulouse ni l’UBB qui dominent dans ce secteur… mais bien le Stade Français. Une stat en dit long : 25 pénalités récoltées en mêlée sur les 6 premières journées. 

Un secteur redevenu stratégique

Face à Perpignan puis La Rochelle, les soldats roses ont littéralement enfoncé le clou : 13 pénalités obtenues en mêlée fermée en seulement deux matchs. Sept contre l’USAP, six contre les Maritimes.

Une domination frontale, méthodique, presque clinique. Et surtout un message clair envoyé au reste du championnat : cette saison, Paris ne rigole plus en mêlée. Et on le sait, quand un pack est dominateur, c'est toute l'équipe qui joue dans l'avancée.

Le travail paie et les performances des piliers Moses et Paul Alo-Emile, sans oublier Païva et Melikidze, pour ne citer qu'eux, autour des talonneurs Giacomo Nicotera et Lucas Peyresblanque y sont pour beaucoup. Mais c'est tout un pack qui avance comme un seul homme.

Des Castrais prévenus

Résultat : une stabilité retrouvée, une poussée collective cohérente, et un rendement qui fait la différence. À chaque mêlée sifflée, c’est désormais une munition potentielle pour Louis Carbonel, ultra précis face aux perches (73 points inscrits, 3e meilleur réalisateur).

Ce samedi, le CO devra se méfier sérieusement. Avec 14,6 points marqués par match, Carbonel convertit presque chaque pénalité en or. Dans un TOP 14 où chaque point pèse lourd, Paris a compris l’intérêt d’une mêlée dominatrice. Et si ce n’était que le début ?

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Les frères Alo-Emile sont pas des petits poulets de l'année ...

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