RUGBY. Fou rire de Kolbe et énorme tampon : le jour où Etzebeth a roulé sur Kolisi
Se prendre Etzebeth plein fer dans le buffet ne doit jamais faire très plaisir.
Le deuxième ligne sud-africain Eben Etzebeth est un colosse. Cette vérité, Siya Kolisi l’a apprise malgré lui et Cheslin Kolbe, lui, a bien ri.

N’est pas Goliath qui veut. Il y a quelques années, Kolbe, Etzebeth et Kolisi évoluaient tous les trois dans la franchise sud-africaine des Stormers. Cette cohabitation paraît désormais incroyable tant les trois hommes sont devenus des joueurs de renommées internationales. Mais cette dernière ne s’est pas toujours passée sous le signe de la bonne humeur. Dans l’émission Offload de Rugby Pass, l’actuel capitaine des Springboks avoue ne pas aimer les entraînements avec contact. Cette appréhension est notamment liée à une anecdote entre lui et Eben Etzebeth.Rugby. Afrique du Sud. En larmes, Rassie Erasmus révèle une anecdote poignante sur Makazole MapimpiRugby. Afrique du Sud. En larmes, Rassie Erasmus révèle une anecdote poignante sur Makazole Mapimpi

Au Stormers, les deux joueurs étaient très proches. Au point même où Kolisi parle d’Etzebeth comme de son “meilleur ami”. Il n’était donc pas rare de voir les deux compères s’entraîner ensemble. À l’occasion d’un entraînement avec contact, le flanker raconte le sale quart d’heure qu’il avait passé aux côtés de son ami. Une histoire qui avait créé quelques tensions, aujourd’hui effacées, entre les deux hommes. Il raconte :

Je me rappelle très bien de ce jour-là, car Cheslin Kolbe était blessé. C’était un entraînement avec contact, sans aucune limite. Moi, je n’aimais pas vraiment ça. On jouait et il a récupéré le ballon. Puis, il me regarde et je me dis que ce regard-là, je le connais bien. Je savais qu'il venait sans se retenir. Il me percute et me passe dessus. Là, je me dis : "Bon, au moins, je vais bien. La prochaine fois, je l’aurai." Puis il est venu la deuxième fois et tout ce dont je me souviens, c'était que Cheslin Kolbe riait. J'étais tellement en colère que je l'ai poursuivi. Il ne s'entraînait pas ce jour-là, car il était blessé, mais je l'ai quand même poursuivi. L'entraînement est si dur et les gars sont si grands. Ce jour-là, Eben s'est donné à fond. Après, il voulait parler et j'étais triste. Je me disais :  "Pourquoi tu fais ça à ton ami ?" J'étais si triste. Il m'a fallu quelques jours pour m'en remettre.”

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