VIDÉO. INSOLITE. Bizuté après la victoire face au RCT, Jake White doit boire dans la chaussure d'un de ses joueurs
Bizutage : Jake White ne s'échappe pas et boit dans un crampon.
NSOLITE. Bizuté après la victoire du MHR face au RCT, Jake White devait boire une bière dans la chaussure d'un de ses joueurs. Il ne s'est pas échappé...
Hier soir à l'Altrad Stadium, Jake White faisait ses grands débuts à la tête du MHR. Et le nouveau manager remplaçant de Fabien Galthié consultant du club héraultais n'a pas raté sa première, puisque ses hommes ont signé une victoire importante face à Toulon (16-12).

Dans un match particulièrement serré et peu spectaculaire, les partenaires de Nicolas Mas se sont principalement appuyés sur une grosse mêlée pour faire la course en tête en score, avant de creuser définitivement l'écart grâce à un essai en force d'Alex Tulou sur ballon porté. Bref, une victoire « à la sud-africaine », qui fera probablement du bien au moral des troupes après une semaine agitée en coulisses. Pas dans un grand jour, le RCT a tout de même montré un meilleur visage que la semaine dernière face à Paris, et est allé chercher un point de bonus défensif pas immérité.

Après la rencontre, les joueurs Montpelliérains ont bien entendu fêté ce succès dans les règles de l'art... en réservant un petit bizutage à leur nouveau staff : savourer la bière de la victoire à l'intérieur d'une chaussure de joueur ! Champion du monde ou pas, Jake White a joué le jeu, tout comme son adjoint Shaun Sowerby. Comme quoi, la bonne ambiance est peut-être enfin de retour dans le vestiaire du MHR.

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@Ceven : À partir du moment où on ne remet pas en cause le principe de la propriété privée et donc du capitalisme, je ne pense pas qu'on puisse reprocher à un président de club de faire ce qu'il veut (dans les limites de la légalité naturellement) avec son club.

Je suis d'accord pour dire que dans un monde parfait, chaque club est l’apanage d'une région, n'emploie que des joueurs issus de son centre de formation et possède un budget équivalent à celui de ses concurrents au centime prêt.

Malheureusement, ce n'est pas un monde parfait et le rugby est devenu professionnel. Si les responsables de la ligue professionnelle s'intéressaient à l'aspect patrimonial des clubs, ils édicteraient des lois dans ce sens. Mais ils s'intéressent au pognon en général et à leurs revenus en particulier, et donc ils négocient des droits de retransmission toujours plus élevés et, pour que les chaînes et les sponsors acceptent de faire flamber le carnet de chèques, il faut que les clubs soient compétitifs et attractifs. Ils sont donc rachetés par des types riches, qui allouent un budget important au club pour se payer un effectif qualitatif et des infrastructures modernes, et ces types riches considèrent qu'avec leur argent ils sont bien en droit de faire ce qu'ils veulent, ce en quoi ils ont bien raison.

Si ces types riches possèdent des valeurs humaines leur intimant de gérer leur club en bon père de famille, alors tant mieux. S'ils préfèrent gérer le club en businessmen c'est leur droit. Si les gens désapprouvent, alors ils n'ont qu'à pas se rendre au stade ni prendre d'abonnement chez Canal ou BeIn.

Et puis, je le répète pour la énième fois, j'aime bien Galthié le technicien comme j'ai bien aimé Galthié le joueur, mais il semblerait quand même que Galthié le coach n'ait pas fait tant de sentiments que ça non plus avec son effectif. Que ceux qui ont vraiment beaucoup de peine pour lui se rassurent : il va vite se consoler de ce moment difficile avec le joli petit chèque qu'il va toucher en partant, qui va se rajouter au pactole qu'il a déjà palpé depuis qu'il entraîne le MHR.

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