WTF - Que font les Springboks pendant leur temps libre à Paris ?
Les Boks ne s'attendaient pas à découvrir Paris de cette manière. Crédit : Twitter @Springboks
La vie d'un joueur de rugby est aussi faite de temps libre. Chacun s'occupe comme il peut et comme il veut. Découvrez le" Chill" à la sauce Springboks.

Les joueurs sud-africains affrontent le XV de France samedi soir au Stade de France pour un tes-match important. Durant la préparation, on a découvert qu'ils avaient un peu de temps libre.

  • Willie le Roux se prélasse en compagnie d'Handré Pollard (le Yionel© sud-africain, mais en beaucoup moins bon. Logique) sur une terrasse de café et découvre le lifestyle parisien et son charme ! "We are springboks player monsieur voulez-vous couché avec moi" - "No matter, it's sept euros for les deux coffee."
  • Wilco Louw se détend à l'exposition "Basquiat" à la Fondation Louis Vuitton. Oui, on peut jouer à droite et aimer l'art de la démolition contemporain. Ces tableaux lui rappellent trois choses importantes dans sa vie : les dessins de son enfance, ses fins de soirées et les dessins qu'il fait aujourd'hui.
  • Eben Etzebeth absent pour le choc se la coule douce à la Tour Eiffel. Même s'il trouve que malgré sa structure, elle reste fragile sur ses quatre appuis. Des touristes le prennent encore une fois pour Borat. Il finira sa journée avec 18 porte-clés de la Tour Eiffel et un sentiment de s'être fait avoir. Apparemment, les week-ends se suivent et se ressemblent pour les Springboks !
  • Cheslin Kolbe découvre le musée du louvre. Il estimera plus tard qu'en ayant vu tous les tableaux un par un "16€ l'entrée for 1h de visite, it's expensive !" Sache Kolbe que ce n'est pas parce que tu es supersonique que tes 5 prochaines années à Toulouse passeront plus vite.
  • Pour l'histoire, un ancien Boks déambule dans les rues parisiennes à la recherche de Sylvain Marconnet, alias l'Olivier Puget.
  • Son camarade Aphiwe Dyantyi est lui flashé sur les quais de Seine, poursuivi par des joueurs des Jaguares en trottinettes électriques. Heureusement pour lui, les batteries ne sont pas tout à fait au point. Il fera finalement demi-tour à Rouen, ramené par un supporter qui a acheté sa place à moitié prix cette semaine.
  • Le plus triste de ce séjour parisien est André Estherhuizen. Ramené à l'hôtel en pleurs, il a dû suivre des séances d'agoraphobie toute la semaine. Retrouvé en boule au terminus de la ligne 4, à Porte de Clignancourt, il aurait déclaré aux agents de la RATP : "Je veux rentrer. Tout le monde me bouscule ici et personne ne dit jamais rien."
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Personne n'en a rien a cirer et beaucoup se gosseront mais je suis fan de Basquiat

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