Les plus grands moments de France/Nouvelle-Zélande, c'est dans l’apéro Menguy’s d’avant-match
Le 8 septembre, l’équipe de France donnera le coup d’envoi du Mondial 2023 face à la Nouvelle-Zélande. Crédit image : Screenshot TF1
Le 8 septembre, l’équipe de France donnera le coup d’envoi du Mondial 2023 face à la Nouvelle-Zélande. Retour sur les plus grands moments entre ces deux nations.

Le 8 septembre prochain, l’équipe de France donnera le coup d’envoi du Mondial 2023. Et quoi de mieux que la Nouvelle-Zélande pour ouvrir le bal. Une finale bien avant l’heure entre deux nations qui partagent une histoire très riche dans cette compétition. Elles se sont notamment affrontées deux fois en finale (1987 et 2011). Un match entre Français et Néo-Zélandais n’est jamais comme les autres. D’une manière ou d’une autre, il marque toujours les esprits des joueurs et surtout des supporters par sa physionomie, son résultat et des actions entrées au panthéon de l’ovalie. 

Des matchs de légende

La cahuète c'est le grand classique de l'apéro. Un France - Nouvelle-Zélande, c'est un grand classique du Rugby. Ici, on est clairement sur de la cahuète.

Team Cahuète ! France - Nouvelle Zélande, c'est un grand classique et des matchs de légende !

Côté tricolore, personne n’a oublié la demi-finale en 1999. Une rencontre de légende avec des stars de l’ovalie à tous les postes de chaque côté et avait promis l’enfer noir aux Bleus, notamment en raison de leurs résultats avant la compétition. Après la fessée 54 à 7 encaissée quelques semaines plus tôt lors d’un test à Wellington, les supporters kiwis étaient calés devant le match avec le popcorn, même en pleine nuit. Mais ce match avait finalement été bien plus compliqué que prévu pour les hommes en noir. Et pour cause, les Tricolores avaient inscrit le premier essai dès la 20e minute. À seulement sept longueurs aux citrons (17-10), ils n’étaient clairement pas sur la pelouse pour se faire farcir comme une olive.

Le premier acte avait été physique, le second est devenu mythique. Dès la reprise, les Bleus s’étaient fait griller la politesse par les Néo-Zélandais. Après ce nouvel essai, 14 points séparaient les deux nations. Et du côté des supporters français, on craignait que l’addition ne soit bien plus salée que les cacahuètes dévorées jusqu’ici. Mais le miracle avait finalement eu lieu. Après deux drops, la France avait marqué coup sur coup deux essais en l’espace de quatre minutes. 26 points inscrits en un peu moins d’un quart d’heure pour les Tricolores. Ils avaient littéralement asphyxié leurs adversaires, marquant même un quatrième essai en fin de partie. Score final 43 à 31.

Une rivalité historique

La Nouvelle-Zélande prendra une petite revanche quatre ans plus tard lors de la petite finale pour la 3e place. Mais le traumatisme de cette défaite a hanté les Néo-Zélandais pendant longtemps. Et le quart de finale de 2007 n’a pas arrangé les choses. Comme souvent, les Français n’étaient pas favoris mais ils avaient tenu la dragée haute à la meilleure nation du monde. Le tournant du match avait eu lieu à la 68e avec un second essai. Pour beaucoup, il aurait dû être refusé pour un en-avant. Mais l’histoire était en marche et à la faveur d’une défense aussi solide qu’une pistache fermée sur laquelle les Néo-Zélandais s’étaient cassés les dents, les Français l’avaient emporté 20 à 18. Éliminant une fois de plus les terribles hommes en noir du Mondial.

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Autant vous dire que lorsque la France s’est présentée face à la Nouvelle-Zélande en finale du Mondial 2011, les locaux n’en menaient pas large. Et ce, alors qu’ils avaient battu les Français lors de la phase de poules. Le fait que les Bleus aient perdu contre les Tonga et aient failli passer à la trappe en demie contre les Gallois (8-9), ajoutait encore plus d’incertitude autour de la rencontre. Les Tricolores étaient aussi imprévisibles qu’un popcorn salé dans un sachet sucré. Allaient-ils exploser lors de cette finale ? L’avant-match avait finalement donné le ton de cette rencontre : épicé. Les Français, d’abord en V, avait une nouvelle fois défié les Néo-Zélandais lors du célèbre haka. Après une terrible bataille, cette finale laissera aussi un goût amer dans la bouche des supporters bleu, blanc, rouge.

Deux finales perdues

Car les Français n’ont pas démérité dans cette partie marquée de l’avis de beaucoup par des décisions arbitrales contestables et contestés. Devant leur écran, les supporters ont très souvent ragé et envoyé autant de nom d’oiseaux sur leur télévision que de Cracky’s dans les airs. Fautes non sifflées dans les rucks et autres obstructions des locaux ont jalonné cette finale comme sur le premier essai néo-zélandais. Malgré tout, les Tricolores n’avaient pas abdiqué, marquant également un essai au retour des vestiaires par leur capitaine exemplaire. Une réalisation finalement insuffisante pour l’emporter. Une défaite sur la plus petite des marges, 7-8, qui reste encore en travers de la gorge des supporters français. Quelques glaçons Néo-Zélandais qui ont rafraîchi l'apéro et les humeurs dans nos rangs.


Jamais la France n’avait été aussi proche de remporter le titre mondial. En effet, en 1987, lors de la première finale de l’histoire, les Néo-Zélandais dominé les Tricolores 29 à 9 devant son public à Auckland. Sans doute un peu trop repus après leur sublime demie face à l’Australie, les Bleus n’avaient sans doute plus de place pour ce très gros morceau qu’était la Nouvelle-Zélande. Pourtant, le score n’était que 9 à 0 à la pause. Les Kiwis marqueront deux autres essais dans le second acte pour d’adjuger le premier titre de l’histoire de l’ovalie. Pour revenir à l'apéro, en termes de glaçons, c'est un 10/10, les néo-Zélandais, avaient bien rafraîchi l'ambiance côté français... on s'en souvient tous encore !

Une raclée bénéfique 

"Joue contre les Blacks comme tu vas à l'apéro, et l'addition peut être salée" - Dicton Menguy's.

20 points d’écart, ça peut sembler beaucoup. Mais ce n’est pas l’écart le plus large entre ces deux nations dans l’histoire de la compétition. Si la petite finale de 2003 faisait figure de déculottée avec son score de 40 à 13, que dire que du résultat du quart de finale de 2015, 62 à 13 ? Si la Nouvelle-Zélande a été traumatisée par les revers de 1999 et 2007, pour la France, la raclée reçue en Angleterre a finalement été bénéfique. Il a permis au rugby français de se réveiller et de prendre des mesures pour retrouver les sommets.

D’aucuns auraient sans doute préféré ne pas en arriver là. Mais la vérité du terrain est parfois cruelle. Et ce 17 octobre 2015, les Tricolores ont fait l’amer constat de l’immense écart qui les séparait de la Nouvelle-Zélande avec 9 essais encaissés. En deuxième période, les Kiwis avaient donné l’impression d’être à l’entraînement et de se balader dans la défense française comme un vendeur de chouchous sur la plage. Pour les joueurs tricolores, la coupe était pleine depuis bien longtemps. Tandis que les supporters avaient depuis longtemps vidé leur verre, éteint la télé et rangé les olives au frigo.

On a digéré. Depuis, les Tricolores ont mangé leur pain noir et font désormais partie des cracks du rugby mondial. Ils ont dévoré toutes les grandes nations de l’ovalie à leur palmarès ces dernières années, dont la Nouvelle-Zélande, battue en 2021. Un premier succès avec la manière 40 à 25 qui était attendu depuis 2009 et qui laisse présager d’un avenir radieux. Face à des Néo-Zélandais revanchards, ce match d’ouverture promet d’être spectaculaire. Alors n’oubliez pas le popcorn (sucré bien sûr, qui mange du popcorn salé franchement ?) !

C'est ainsi que se termine cet apéro Menguy's. Pour l'heure à la vôtre, on vous souhaite du tchin tchin avec modération, et des tchik tchak dans la défense adverse à foison !

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