Un parcours exceptionnel ! De Wellington au Stade Toulousain en passant par Auch et Agen, Omar Hasan a poussé de nombreuses mêlées tout au long de sa carrière de joueur. Celui qui a arrêté de porter le maillot argentin sur une victoire en Coupe du Monde contre la France (match de la 3e place), s'est reconverti dans sa deuxième passion : le chant. La culture argentine transpire de cet homme qui fera l'honneur d'être le parrain de la 4e édition du Festoval à Toulouse.
Du 12 au 14 septembre 2014, la place du Capitole sera dédiée à l'univers du rugby. Le festoval revient tous les ans dans la ville rose depuis la dernière Coupe du Monde pour le plus grand plaisir des fans d'ovalie qui sont nombreux à Toulouse. Guy Novès va certainement râler car la journée du samedi fait doublon avec le match contre Clermont mais nul doute que les Auvergnats viendront faire un tour au centre de Toulouse pour voir les nombreuses animations et ce cher Omar Hasan qui a fait le bonheur de la mêlée toulousaine pendant de nombreuses années.
Omar, raconte-nous ton investissement pour le Festoval ces dernières années.
Je suis effectivement parrain de cette manifestation depuis le début. C'est un réel plaisir et en parfaite adéquation avec mon idée de reconversion qui est de réunir le monde du rugby et la culture. De superbes expositions photos ont été révélées dans les précédentes éditions avec des thèmes parfois différents. Je me souviens particulièrement de l'année consacrée aux 1ère lignes, ne me demandez pas pourquoi (sourire).
Quel est le thème cette année ?
Le Rugby féminin sera à l'honneur. Les filles le méritent bien avec ce magnifique parcours en Coupe du monde. J'ai regardé les matchs, j'ai été impressionné !
Quel sera ton rôle dans le Festoval ?
Je vais évidemment participer aux Rugbyvores qui est un spectacle sur écran, avec des pubs, de l'action et de l'humour tout autour du rugby, et accompagné d'un spectacle vivant avec différents artistes sur scène et une méga banda constituée de 200 musiciens. Philippe Guillard est venu à toutes les éditions, on espère le voir pour perpétuer ce côté décalé largement visité l'an dernier avec « Le duo des Non » ou encore Jean-Pierre Mader. Cette année, je l'annonce, je vais chanter du Patrick Sébastien ! Attention à vous les Sardines !
Je vais peut-être toucher la gonfle un peu car on aura un beau terrain avec du gazon naturel pour des tournois de rugby à 5 (à toucher).
Quel est le meilleur souvenir de l'an passé ?
Le record du monde de la plus grosse mêlée ! Plus de 1200 personnes. Un record à battre cette année, j'ai décidé de me mettre pilier droit pour stabiliser l'édifice... même s'il elle n'est pas poussée (rires).
A titre personnel, un retour d'Omar Hasan proche du terrain est-il possible ?
Je n'ai pas décroché. Je suis toujours autant passionné du rugby et de la mêlée en particulier. J'aimerais bien être consultant dans ce secteur pour les équipes professionnelles. J'ai proposé mes services à deux clubs, mais les consultants dans les staff des équipes de rugby ne sont pas encore entrés dans la culture française. Seul les spécialistes pour le jeu au pied ont une certaine légitimité aujourd'hui. Un tel rôle serait le moyen idéal pour me rapprocher du terrain car je ne peux pas entraîner une équipe à plein temps à cause de mon agenda. Je dois travailler ma voix régulièrement et faire des récitals.
Merci Omar pour cette interview et rendez-vous au Capitole où Le Rugbynistère aura un stand et réservera quelques surprises aux visiteurs !
Du 12 au 14 septembre 2014, la place du Capitole sera dédiée à l'univers du rugby. Le festoval revient tous les ans dans la ville rose depuis la dernière Coupe du Monde pour le plus grand plaisir des fans d'ovalie qui sont nombreux à Toulouse. Guy Novès va certainement râler car la journée du samedi fait doublon avec le match contre Clermont mais nul doute que les Auvergnats viendront faire un tour au centre de Toulouse pour voir les nombreuses animations et ce cher Omar Hasan qui a fait le bonheur de la mêlée toulousaine pendant de nombreuses années.
Omar, raconte-nous ton investissement pour le Festoval ces dernières années.
Je suis effectivement parrain de cette manifestation depuis le début. C'est un réel plaisir et en parfaite adéquation avec mon idée de reconversion qui est de réunir le monde du rugby et la culture. De superbes expositions photos ont été révélées dans les précédentes éditions avec des thèmes parfois différents. Je me souviens particulièrement de l'année consacrée aux 1ère lignes, ne me demandez pas pourquoi (sourire).
Quel est le thème cette année ?
Le Rugby féminin sera à l'honneur. Les filles le méritent bien avec ce magnifique parcours en Coupe du monde. J'ai regardé les matchs, j'ai été impressionné !
Quel sera ton rôle dans le Festoval ?
Je vais évidemment participer aux Rugbyvores qui est un spectacle sur écran, avec des pubs, de l'action et de l'humour tout autour du rugby, et accompagné d'un spectacle vivant avec différents artistes sur scène et une méga banda constituée de 200 musiciens. Philippe Guillard est venu à toutes les éditions, on espère le voir pour perpétuer ce côté décalé largement visité l'an dernier avec « Le duo des Non » ou encore Jean-Pierre Mader. Cette année, je l'annonce, je vais chanter du Patrick Sébastien ! Attention à vous les Sardines !
Je vais peut-être toucher la gonfle un peu car on aura un beau terrain avec du gazon naturel pour des tournois de rugby à 5 (à toucher).
Quel est le meilleur souvenir de l'an passé ?
Le record du monde de la plus grosse mêlée ! Plus de 1200 personnes. Un record à battre cette année, j'ai décidé de me mettre pilier droit pour stabiliser l'édifice... même s'il elle n'est pas poussée (rires).
A titre personnel, un retour d'Omar Hasan proche du terrain est-il possible ?
Je n'ai pas décroché. Je suis toujours autant passionné du rugby et de la mêlée en particulier. J'aimerais bien être consultant dans ce secteur pour les équipes professionnelles. J'ai proposé mes services à deux clubs, mais les consultants dans les staff des équipes de rugby ne sont pas encore entrés dans la culture française. Seul les spécialistes pour le jeu au pied ont une certaine légitimité aujourd'hui. Un tel rôle serait le moyen idéal pour me rapprocher du terrain car je ne peux pas entraîner une équipe à plein temps à cause de mon agenda. Je dois travailler ma voix régulièrement et faire des récitals.
Merci Omar pour cette interview et rendez-vous au Capitole où Le Rugbynistère aura un stand et réservera quelques surprises aux visiteurs !