VIDÉO. Champions Cup. Marcelo Bosch et les Saracens crucifient le Racing Métro 92 à la sirène (11-12)
ERCC : Marcelo Bosch et les Saracens crucifient le Racing Métro 92 à la sirène
Rugby Champions Cup. Le Racing Métro s'est incliné contre les Saracens après une pénalité de Marcelo Bosch à la dernière seconde. Les Franciliens ne verront pas les 1/4 de finale.
Ce dimanche, le Racing Métro 92 jouait le tout premier quart de finale européen de son histoire. Un événement qui aurait pu être une fête à Colombes, dans un stade Yves-du-Manoir plus rempli qu'à l'accoutumé. Las, les Alto-Séquanais ont raté leur rendez-vous avec les demi-finales, en s'inclinant face d'un petit point aux Saracens (11-12).

Pourtant, les finalistes de la H Cup 2014 n'ont pas montré grand chose durant la partie. Globalement dominés, ils se sont contentés de se nourrir des fautes de leurs adversaires et on inscrit tous leurs points sur pénalités.Les Racingmen n'ont jamais su être en mesure de s'adapter à l'arbitrage un brin tatillon de Nigel Owens. Maladroits ballon en mains, ils ont ont également gaspillé un paquet d'occasions d'essais...

Pas assez efficace, pas assez expérimenté dans ce genre de match couperet, le Racing a vu la victoire s'envoler dans les dernières secondes du match, lors d'une séance de pick and go bien risquée à 40 mètres de leurs poteaux. Et après une faute de Fabrice Metz, l'ancien artilleur du BO Marcelo Bosch s'est rappelé au bon souvenir du public français en inscrivant la pénalité décisive.

VIDÉO. Champions Cup. Marcelo Bosch et les Saracens crucifient le Racing Métro 92 à la sirène (11-12)

Une défaite qui a eu du mal à passer chez les Racingmen, notamment du côté de Maxime Machenaud, qui s'est montré particulièrement sévère en interview d'après-match, en hésitant pas à pointer du doigt l'indiscipline de son jeune coéquipier Fabrice Metz.

On ne peut s’en prendre qu’à nous même. L’arbitre nous demande de rester sur nos appuis. Je le dis quatre fois à Fabrice et voilà… Ce sont des choses qu’on ne peut pas accepter. J’étais sûr que l’arbitre allait nous pénaliser. Je suis un peu énervé, sur le coup. On fait trop de fautes. On était à deux doigts de remporter ce match. Ça fout les boules de perdre ainsi, parce qu’on avait tout fait pour passer ce tour.»

Un coup de gueule surprenant et pas très Valeurs du rugby ©. Le demi de mêlée international a néanmoins fait son mea culpa sur Twitter.


Quoiqu'il en soit, les Racingmen vont désormais devoir se concentrer sur le Top 14. Les Saracens, eux, vont retrouver leurs vieux amis Clermontois en demi-finale à Saint-Étienne. Rappelons que l'année dernière, les Sarries avaient corrigé les Jaunards au même stade de la compétition (46-6). Mais c'était à Twickenham...

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  • bas varois
  • il y a 8 ans

Au risque de me prendre plein de pouces vers le bas 🙂
Owens n'attendait visiblement qu'une opportunité de siffler quelque chose en faveur des Sarracens.
Le porteur du ballon n'écarte pas le ballon de son corps et ça suffit pour siffler .
Alors bien évidemment, les joueurs adverses n'avaient pas la possibilité de récupérer cette balle, d'autant que le soutient bleu était bien présent. Il suffisait au plaqué d'éloigner le ballon vers l'arrière et le match était plié.
Parfois à vouloir trop bien faire ....

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