Nés et formés à l'étranger, mais JIFF : qui sont-ils et d'où viennent-ils ?
Nés et formés à l'étranger, mais JIFF : qui sont-ils et d'où viennent-ils ?
Ils sont 46 joueurs nés et formés à l'étranger à profiter malgré tout du précieux statut JIFF. Mais d'où viennent-ils ?

L’histoire avait fait beaucoup de bruit, révélant l’immense hypocrisie liée au JIFF, ou Joueur Issu des Filières de Formation. International français à 23 reprises, Scott Spedding n’a jamais pu obtenir le précieux sésame, devenu l’un des principaux critères des clubs au moment de recruter. Naturalisé français, membre des Bleus lors du Mondial 2015, Spedding était parti au combat. En vain. 

Car si le CNOSF avait validé sa demande, la FFR puis le Conseil d’Etat avait tranché en défaveur du Sud-Africain d’origine, forcé (faute de propositions) à prendre sa retraite à seulement 32 ans. Pour être JIFF, deux solutions :

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Le titre du dernier graphique est trompeur, il faudrait bien précisé qu'il s'agit de "JIFF" étrangers.

Sur le fond, il faudrait ajuster un peu le système des JIFFs en général, mais surtout l'aberration des joueurs de l'EdF non JIFFs.
Pour moi, ils devraient obtenir le statut à partir d'un nombre de sélection (genre 10 filtrer les sélections de test sur des tournées d'été).

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