Suite au forfait de Dimitri Szarzewski, le talonneur de l’USAP, Guilhem Guirado (26 ans, 15 sélections) a retrouvé le groupe France après plus d’un an d’absence (dernière sélection lors de la Coupe du monde 2011 face au Canada). Débarqué lundi à Marcoussis, le Catalan s’est immédiatement mis à l’ouvrage. Une condition sine qua non selon lui pour renverser la vapeur dans ce Tournoi, pour le moment très mal embarqué. « Si on veut élever notre niveau, ça passe par une remise en question et du travail. » Un état d’esprit qui n’a d’ailleurs jamais quitté le talonneur : « C’est ce que font tous les joueurs en club car on joue gros tous les week-end en Top 14. »
Malgré les trois défaites qui ont émaillées le parcours des Bleus jusqu’à présent, « la bonne humeur » est toujours présente, indique Guirado. C’est donc dans une atmosphère saine que tous se préparent au match contre l’Irlande. « Ils auront à cœur de mouiller le maillot pour leur pays donc c’est à nous de répondre présent pour faire un gros match. » Même son de cloche chez Maxime Médard, fraichement débarqué : « On a vu que l’équipe d’Irlande avait des failles. A nous de mettre ce qu’il faut pour gagner là-bas. »
Pour la dernière de Brian O’Driscoll à l’Aviva Stadium, le Toulousain s’attend à une partie « compliquée » comme ont pu l’être les trois précédentes. Pas question cependant de révolutionner le rugby. A seulement deux matchs de la fin du Tournoi, le temps est venu de « faire des choses simples ». A l’instar de Guilhem Guirado, l’ailier tricolore n’avait pas joué en équipe de France depuis de longs mois. Malgré l’urgence de la situation et son rappel en milieu de compétition, il a tenu prendre le temps de retrouver ses repères. « J’ai essayé de me faire discret » confie-t-il. Lui comme tous les autres joueurs, sont prêts à prendre leurs responsabilités.
Malgré les trois défaites qui ont émaillées le parcours des Bleus jusqu’à présent, « la bonne humeur » est toujours présente, indique Guirado. C’est donc dans une atmosphère saine que tous se préparent au match contre l’Irlande. « Ils auront à cœur de mouiller le maillot pour leur pays donc c’est à nous de répondre présent pour faire un gros match. » Même son de cloche chez Maxime Médard, fraichement débarqué : « On a vu que l’équipe d’Irlande avait des failles. A nous de mettre ce qu’il faut pour gagner là-bas. »
Pour la dernière de Brian O’Driscoll à l’Aviva Stadium, le Toulousain s’attend à une partie « compliquée » comme ont pu l’être les trois précédentes. Pas question cependant de révolutionner le rugby. A seulement deux matchs de la fin du Tournoi, le temps est venu de « faire des choses simples ». A l’instar de Guilhem Guirado, l’ailier tricolore n’avait pas joué en équipe de France depuis de longs mois. Malgré l’urgence de la situation et son rappel en milieu de compétition, il a tenu prendre le temps de retrouver ses repères. « J’ai essayé de me faire discret » confie-t-il. Lui comme tous les autres joueurs, sont prêts à prendre leurs responsabilités.