Hayastan n’est rien d’autre que le mot Arménie dans la langue locale. Le Rugbynistère a décidé de se plonger au cœur d’un petit pays de 3 240 000 habitants qui est en train de s’éveiller au monde de l’ovalie. La découverte du rugby se fait grâce à la diaspora arménienne. De nombreux arméniens ont fui leur pays natal lors du génocide arménien (1915-1916), une période tragique de l’histoire locale qui a envoyé de nombreux compatriotes dans les pays d’Europe de l’Ouest et en Amérique du Nord. On comptabilise aujourd’hui environ 900 000 Arméniens sur le sol français. Parmi eux, certains tâtent le ballon ovale et plutôt bien.
Le club d’Aubenas dans l’Ardèche joue en Fédérale 1 et compta dans ses rangs ni plus ni moins que 5 internationaux arméniens. Laurent Bedrossian, pilier de cette équipe, témoignait dans La Provence que l’équipe d’Arménie était composée de joueurs évoluant en France qui avaient pour but « de relancer le rugby dans un pays aux conditions de vie difficiles et où la vie est difficile ». Champions d’Europe en Division 3C l’année dernière, l’Arménie avance petit à petit dans son projet de créer un véritable championnat local. Des hommes comme Alain Tchurukdichian localisé à Dijon et Nicolas Ancelin de Paris, œuvrent pour faire vivre cette sélection.
Le prochain match de l’Arménie sera en 2ème division FIRA contre la Suisse qui compte également beaucoup de joueurs évoluant en France. Un choc attendu dans la première journée de la poule. Go Hayastan !
Le club d’Aubenas dans l’Ardèche joue en Fédérale 1 et compta dans ses rangs ni plus ni moins que 5 internationaux arméniens. Laurent Bedrossian, pilier de cette équipe, témoignait dans La Provence que l’équipe d’Arménie était composée de joueurs évoluant en France qui avaient pour but « de relancer le rugby dans un pays aux conditions de vie difficiles et où la vie est difficile ». Champions d’Europe en Division 3C l’année dernière, l’Arménie avance petit à petit dans son projet de créer un véritable championnat local. Des hommes comme Alain Tchurukdichian localisé à Dijon et Nicolas Ancelin de Paris, œuvrent pour faire vivre cette sélection.
Le prochain match de l’Arménie sera en 2ème division FIRA contre la Suisse qui compte également beaucoup de joueurs évoluant en France. Un choc attendu dans la première journée de la poule. Go Hayastan !
Thor Lund
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3559 pointsle genocide arménien ne se termine helas pas en 1916, on prend en général la date de 1921 comme fin de la tragédie, ce qui coïncide avec le "changement" de regime. Ca n'empeche pas que "vive le rugby arménien" !