Les joueuses se sont approprié le rugby ! Ce n’est pas un rugby de testostérone, il est nuancé par quelques touches de mascara et de far à paupière… Malgré tout, elles y croient et n’hésitent pas à aller au contact. Sur un terrain elles se battent pour la victoire. La PRF apporte ce regard moderne qui s’éloigne des préjugés et apporte une image plus glamour à ces filles. Mais elle n’est pas naïve, la PRF fait la promotion d’un sport de contact : les joueuses ne sortent parfois pas indemnes des affrontements, les conséquences peuvent être effrayantes.
Morgane Thaboré, joueuse de St Orens, pourrait vous l’affirmer. Elle est bien placée pour dire que le rugby féminin à sa place dans ce monde d’homme. Son expérience nous le montre, elle a commencé le rugby dans un club de garçons, le Rugby Club de Concarneau. Morgane s’est fait une place et a fait ses preuves dans le jeu face à ces bonhommes. Aujourd’hui, ce qui compte pour elle c’est le collectif et les adversaires doivent le savoir il ne faut pas la « titiller ». Des œufs d’autruche sur le front elle en a essuyé plus d’un, ce sont les aléas qui la renforcent sur le terrain comme dans la vie.
Retrouvez nous mensuellement sur Le Rugbynistère, pour un rugby décalé, la PRF l’assume !
Morgane Thaboré, joueuse de St Orens, pourrait vous l’affirmer. Elle est bien placée pour dire que le rugby féminin à sa place dans ce monde d’homme. Son expérience nous le montre, elle a commencé le rugby dans un club de garçons, le Rugby Club de Concarneau. Morgane s’est fait une place et a fait ses preuves dans le jeu face à ces bonhommes. Aujourd’hui, ce qui compte pour elle c’est le collectif et les adversaires doivent le savoir il ne faut pas la « titiller ». Des œufs d’autruche sur le front elle en a essuyé plus d’un, ce sont les aléas qui la renforcent sur le terrain comme dans la vie.
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