En Suisse, terre de fromages, de ponctualité et de rugby bien connue, certains hommes politiques ont accepté de troquer leur costume trois pièces contre la tenue simple du joueur de Beach Rugby. La raison ? Une invitation du Geneva Festival Beach Rugby, à laquelle ont répondu favorablement plusieurs élus, laissant rivalité et rancoeur au placard.
Evidemment, au grand dam des amateurs de combat de coqs (très en vogue dans les assemblées du monde entier), pas question de plaquer au beach rugby. Mais tout de même, voir les politiciensse ridiculiser jouer au rugby, a dû faire sourire plus d'un Suisse.
Des élus du PLR (Parti de L'apéro et du Rugby ?) et d'autres du Grand Conseil et du Conseil municipal ont ainsi formé des équipes, et se sont frottés notamment au gang des policiers et à d'autres formations. Une dépense d'énergie qui a ravi les principaux intéressés, comme Jacqueline Roiz, députée des Verts (pour la couleur du maillot ?) au Grand Conseil, à qui la Tribune de Genève a demandé si le rugby était plus facile que la politique : « Oui. La politique est plus subtile. Les coups bas n’existent pas dans le rugby! ». Visiblement, la gente dame ne connaît ni Jamie Cudmore, ni Grégory Le Corvec. A-t-elle au moins entendu parler de Richie McCaw ? Pas sûr !
Mais pourquoi donc délaisser les ors des palais pour se mélanger à la plèbe rugbystique ? Murat Alder, vice-président du PLR et apparemment très bon finisseur (en rugby) a la réponse : « Des événements populaires, comme celui-ci, nous donnent l’occasion de montrer qu’en tant qu’élu, nous sommes des citoyens comme les autres ». Bon ok, l'intention y est, mais on le croira quand il fera un concours de rots avec nous entre deux apéros !
Article complet : Tribune de Genève
Evidemment, au grand dam des amateurs de combat de coqs (très en vogue dans les assemblées du monde entier), pas question de plaquer au beach rugby. Mais tout de même, voir les politiciens
Des élus du PLR (Parti de L'apéro et du Rugby ?) et d'autres du Grand Conseil et du Conseil municipal ont ainsi formé des équipes, et se sont frottés notamment au gang des policiers et à d'autres formations. Une dépense d'énergie qui a ravi les principaux intéressés, comme Jacqueline Roiz, députée des Verts (pour la couleur du maillot ?) au Grand Conseil, à qui la Tribune de Genève a demandé si le rugby était plus facile que la politique : « Oui. La politique est plus subtile. Les coups bas n’existent pas dans le rugby! ». Visiblement, la gente dame ne connaît ni Jamie Cudmore, ni Grégory Le Corvec. A-t-elle au moins entendu parler de Richie McCaw ? Pas sûr !
Mais pourquoi donc délaisser les ors des palais pour se mélanger à la plèbe rugbystique ? Murat Alder, vice-président du PLR et apparemment très bon finisseur (en rugby) a la réponse : « Des événements populaires, comme celui-ci, nous donnent l’occasion de montrer qu’en tant qu’élu, nous sommes des citoyens comme les autres ». Bon ok, l'intention y est, mais on le croira quand il fera un concours de rots avec nous entre deux apéros !
Article complet : Tribune de Genève