6 Nations 2019 - L'affluence du Stade de France de nouveau à la peine pour France-Pays de Galles

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Antoine Poussin
Publié le 30 janvier 2019 à 12:30 - Mis à jour le 28 mars 2019 à 21:47
Temps de lecture : 1 minute

Le Stade de France n'en finit plus de se vider.

Le Stade de France devrait accueillir seulement 55 000 spectacteurs ce vendredi pour le match face au Pays de Galles...

Quand verra-t-on le Stade de France se remplir de nouveau pour un match des Bleus ? Malheureusement, la faible popularité du rugby français actuellement fait que ce dernier est déserté par les spectateurs. Et pour cause, le match face au Pays de Galles prévu vendredi pour ouvrir le Tournoi des Six Nations n'accueillera, pour l'instant, que 55 000 supporters selon L'Equipe. Déjà au mois de novembre, l'ambiance avait été morose à Saint-Denis dans une enceinte remplie à moitié pour les deux rencontres de la tournée : environ 55 000 spectateurs face à l'Afrique du Sud (sur 80 000 places disponibles) et 42 000 face aux Fidji, la pire affluence de l'histoire du Stade de France.XV de France - Fidji : les audiences TV en baisse, quelle affluence au Stade de France ?La Fédération Française de Rugby avait dû notamment baisser les prix durant les derniers jours précédents les deux matchs, pour tenter de combler, ne serait-ce que légèrement, les places laissées vides. Aura-t-elle de nouveau recours à ce genre de procédé ? Quoiqu'il en soit, les supporters des Bleus n'en finissent plus d'éviter le stade parisien, même pour le Tournoi des Six Nations, une compétition pourtant marquante dans le rugby mondial. En 2017, lors du match historique remporté par les Français au bout du suspens face à ces mêmes Gallois, le Stade de France avait affiché quasi complet avec 78 600 spectateurs...

XV de France - Fidji : vers la pire affluence de l'histoire au Stade de France ?

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San Atonio
12269 points
il y a 5 ans

Au moins ce qui est bien (surtout pour les moins jeunes d'entre nous) c'est qu'avec le match le vendredi soir, ça laisse un jour de rab pour se remettre du choc psychologique en cas de branlée tonitruante/défaite encourageante/victoire insipide (rayez la mention inutile) et de la gueule de bois subséquente. Comme ça, tout un chacun est libre de profiter de son dimanche en toute quiétude, visiter le petit jésus à la messe, allez fluncher avec les drôles ou faire du tuning sur la R5, pour qu'enfin le soir venu, vautrés sur le canapé et repus d'une barquette familiale de lasagnes Findus, l'on puisse goûter le stress et l'appréhension de la reprise du lundi, en pestant sur les Gilets Jeunes au journal de 20h sur TF1, avant de se laisser glisser dans la torpeur digestive et s'éteindre d'une ronflade.