''Plaque, bordel !'' 20 expressions 'rugby' que tu peux aussi sortir au repas de Noël
Au rugby comme à Noël, tout est une question de timing, de discipline et de partage. Certaines phrases passent parfaitement de la touche à la table. Image : IA Canva
Un repas de Noël, c’est un match. De l’engagement, des fautes, des débats et des phrases qu’on entend d’habitude au bord du terrain.

Il y a le rugby sur le terrain, celui du dimanche après-midi, et puis il y a le rugby dans la vraie vie. Celui qui ressort sans prévenir, entre deux plats, un verre de trop et une discussion qui dérape.

À Noël, autour de la table familiale, le vocabulaire de l’ovalie trouve un terrain d’expression presque naturel. Parce qu’au fond, un repas de fêtes, c’est un match comme un autre : de l’engagement, de la tension, des temps forts, des temps faibles… et parfois un peu d’indiscipline.

Les amateurs de ballon ovale le savent bien : certaines phrases sont gravées à vie. Elles sortent toutes seules, sans réfléchir, comme un réflexe conditionné.

Peu importe qu’il n’y ait ni ballon ni arbitre dans le salon, le cerveau rugby reste branché. Et quand la dinde arrive trop vite, que le fromage disparaît ou que le débat politique pointe le bout de son nez, le parallèle devient évident.

"Un repas de fêtes, c’est un match comme un autre."

Les phrases de rugby qui trouvent écho au réveillon

Alors autant l’assumer. Voici ces phrases que vous entendez chaque week-end au bord du terrain… et que vous pouvez ressortir au réveillon, sans presque changer un mot. Testées, validées, et surtout comprises par tous ceux qui ont déjà hurlé devant un match.

  • “Non mais là, y’a faute !” : Quand quelqu’un “s’aide” sur le plateau de fromages.
  • “Il joue pas le ballon !” : Quand tonton attaque direct la bûche sans passer par l’entrée.
  • “Lâche ! LÂÂÂCHE !” : Quand quelqu’un monopolise la corbeille de pain / le saucier / le dernier Ferrero.
  • “Mais c’est quoi cette défense ?!” : Quand personne ne protège le foie gras et que ça part en trois minutes.
  • “Ça, c’est du courage… mais c’est pas très intelligent” : Quand un cousin se ressert pour la 4e fois “pour goûter”.
  • “On se précipite, on se précipite…” : Quand tout le monde se jette sur le plat dès qu’il arrive, sans attendre mamie.
  • “Allez, on se remet à l’endroit !” : Après le premier verre de trop, quand il faut revenir dans le match.
  • “Y’a personne qui parle ?!” : Quand le silence tombe parce que quelqu’un a lâché : “Bon… on parle politique ?”
  • “C’est cadeau, ça !” : Quand une sauce est renversée / qu’un papier cadeau explose / qu’un enfant révèle un secret de famille.
  • “On n’est pas à la maison !” : Quand quelqu’un commence à râler sur la cuisson, le service, ou la playlist… chez les autres.
  • “Joue simple !” : Quand quelqu’un veut tenter une recette “truffe–mangue–wasabi” au réveillon.
  • “Faut arrêter de vouloir faire les héros !” : Quand tonton veut découper la dinde “à main levée” sans planche.
  • “On veut du combat !” : Quand ça discute pour savoir qui a le droit au dernier morceau.
  • “Plaque, bordel !” : Quand il faut enfin stopper les enfants (ou le chien) qui tournent autour de la table.
  • “Reste sur tes appuis !” : Quand ça tangue un peu en allant chercher du vin à la cave.
  • “Y’en a un qui se sacrifie et qui va au charbon” : Celui qui se colle à la vaisselle / au rangement.
  • “C’est pas le moment de s’éteindre !” : Juste après le plat, quand tout le monde bascule en mode sieste.
  • “Ça joue à l’orgueil là !” : Quand deux membres de la famille se lancent un duel de “moi je”.
  • “Oh l’en-avant… MAIS ÉVIDENT !” : Quand quelqu’un fait tomber la salière, la bouteille, ou le cadeau de mamie.
  • “L’arbitre, il est où ?!” : Quand il faut trancher un litige : parts de bûche, places à table, ou qui ouvre les cadeaux.

Quand le rugby transcende le terrain

Au fond, si ces phrases fonctionnent aussi bien autour d’une table de Noël, c’est parce que le rugby dépasse largement les lignes du terrain. Qu’il s’agisse d’un ruck mal négocié ou d’une bûche attaquée trop vite, le diagnostic est souvent le même.

"Le rugby dépasse largement les lignes du terrain."

Alors cette année, entre deux bouchées et trois anecdotes, laissez parler votre naturel. Le repas passera peut-être par quelques fautes de main, un carton verbal ou deux, mais tant que l’esprit collectif tient bon, tout ira bien. Et comme au rugby, l’essentiel restera intact : partager le moment, ensemble, jusqu’au coup de sifflet final… ou au café.

Vous devez être connecté pour pouvoir participer aux commentaires
  • dan0x
    99428 points
  • il y a 48 secondes

À l'aile !....
Aux jambes !...

Derniers articles

News
Vidéos
News
News
News
News
News
News
News
News
News