VIDEO. France Inter a mené l'enquête sur les pratiques liées au dopage dans le rugby
Le rugby n'est pas épargné par le dopage.
France Inter a enquêté sur les pratiques liées au dopage dans le rugby, en France et dans le monde de l'ovalie en général.

TOP 14 - Racing 92. Dopage : Yannick Nyanga pas sanctionné, Brice Dulin toujours en attenteSouviens-toi l'hiver dernier : deux joueurs du Racing 92, et qui plus est internationaux, Brice Dulin et Yannick Nyanga, se retrouvent dans le collimateur de la Commission de Première Instance de Lutte contre le Dopage suite à des résultats jugés anormaux. Les deux hommes seront finalement innocentés. Une affaire qui était intervenue quelques mois après que d'autres joueurs, dont la star Dan Carter, de la formation francilienne ont fait la une de la presse sportive pour des taux de corticoïdes trop élevés, sans pour autant être inquiétés. On pourrait également mentionner le cas de James O'Connor (RCT) et Ali Williams (Racing 92), placés en garde à vue puis sanctionnés pour avoir été arrêtés en possession de cocaïne.
Top 14 - James O'Connor et Ali Williams sanctionnés par la LigueA première vue, cette drogue est consommée en privé et dans un usage récréatif. Or, une enquête menée par France Inter révèle qu'elle serait aussi utilisée à l'entraînement. Il faut savoir que si son usage est interdit par la loi et répréhensible en compétition, il n'est pas réglementé entre les matchs. "Comme la cocaïne est indétectable moins de 48h après la prise, les joueurs peuvent jouer le samedi et le dimanche sans se faire prendre", explique Jean-Pierre Verdy l'ancien directeur des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage. Cette pratique aurait d'ailleurs un nom : LMM, pour lundi, mardi, mercredi, soit les jours où les joueurs consommeraient de la cocaïne ainsi que des corticoïdes "pour estomper les chocs des week-ends précédents."Crédit audio : France Inter

Dans son enquête, France Inter s'est également intéressé aux compléments alimentaires, dont certains peuvent contenir des produits illégaux à l'insu ou non des joueurs. Lesquels sont parfois les cibles privilégiés de préparateurs physiques peu scrupuleux. De l'avis de beaucoup, le dopage organisé n'existerait pas en France. Mais le média de s'interroger sur des pratiques douteuses qui ont pu avoir lieu dans les années 90 avec comme principal responsable de l'évolution (trop?) rapide des gabarits des joueurs, les stéroïdes anabolisants.Crédit vidéo : France Inter

Une enquête à lire et surtout à écouter ici.

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Il y a eu des contrôles positifs. Aucune sanction, car il fallait protéger le "produit Top14", comme le nomme si bien Goze.
Conclusion: circulez, y'a rien à voir!

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