La légende Springbok James Small s'est éteint à 50 ans
James Small s'est éteint à l'âge de 50 ans.
James Small a disputé 47 matchs sous le maillot Springbok entre 1992 et 1997 avec qui il a remporté la Coupe du Monde en 1995.

C'est une triste nouvelle qui nous vient d'Afrique du Sud. James Small, feu follet de l'aile Springbok entre 1992 et 1997 est décédé à l'âge de 50 ans des suites d'une crise cardiaque, ce mercredi, selon le SA Rugby Mag. Il était jusqu'à présent patron de bar et de restaurants au Cap, tout en créant une marque de vêtements inspirés de l'art traditionnel sud-africain. 

Small c'était 47 matchs avec l'Afrique du Sud et surtout une Coupe du Monde à son palmarès, en 1995. Durant cette Coupe du Monde, il était celui en charge de stopper le monstre Jonah Lomu lors de la finale. Il a ensuite participé à la première tournée des Lions britanniques et irlandais en 1997 avant de mettre fin à sa carrière internationale. C'est en 1999 qu'il a décidé d'arrêter le rugby après avoir joué avec les Lions, autre équipe de Johannesburg.

Son palmarès : 

  • Nomination Joueur SA de l'année, 1993
  • Membre de l'équipe de Springbok vainqueur de la Coupe du Monde, 1995
  • Vainqueur de la coupe Currie avec les Sharks, 1995 et 1996
  • Meilleur marqueur du Super 12, 1996
  • Vainqueur de la Currie Cup avec Western Province, 1997

Le Rugbynistère tient à témoigner tout son soutien et ses plus sincères condoléances à la famille du défunt ainsi qu'à ses proches.
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Les médias vont toujours évoquer les décès des Springboks titrés en 1995 avec une pointe de soupçons vis-à-vis du dopage...
Bon, il est mort, et quoi qu'il s'est passé avant pour lui et ses camarades, le futur se fera sans lui maintenant. Et impossible de tirer des conclusions sur un échantillon si petit (40 joueurs du squad Sudaf qui se "seraient dopés") : c'est absolument pas représentatif pour tirer quoi que ce soit...
Mais, si on fait le bilan de sa vie, il a été un sacré champion dans son sport, et surtout une belle reconversion en tant que gérant d'établissements. Donc, il devait avoir un super train de vie et était probablement heureux, encore que le bonheur est subjectif, donc difficile à évaluer quantitativement parlant...
La pensée collective veut que l'on soit triste quand quelqu'un meurt jeune. Moi, je pense que si cette personne a vécu en adéquation avec ses valeurs, ses ambitions alors qu'importe l'âge de la mort. Ses rêves, d'autres les réaliseront.
L'adage collectif de façade veut que l'on présente ses condoléances : voilà les miennes : RIP M. Small

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