Dopage de trois Espoirs : le spray nasal en faute ?
Un spray nasal serait en cause pour les 3 cas de dopage
Deux Espoirs d'Auch et un Espoir d'Aurillac ont été contrôlés positifs par l'Agence Française de Lutte contre le Dopage, un spray nasal pourrait être en faute.
Après l’affaire du « dafalgan codéïné » de Steffon Armitage, trois nouveaux cas de dopage ont été révélés en fin de semaine par l’Agence Française de Lutte contre le Dopage. Deux joueurs de l'équipe Espoirs du FC Auch Gers et un jeune Espoir d’Aurillac ont subi un contrôle antidopage positif, comme le révélait Midi Olympique, dans son édition de vendredi.

Concernant Fayçal Sahli (pilier, 22 ans) et Richard Jenkins (3ème ligne, 22 ans), les deux membres du centre de formation auscitain, l’utilisation d’un spray nasal serait en cause. Contrôlés positifs au tuaminoheptane, une molécule considérée comme stimulante, les deux jeunes auraient simplement tenté de soigner un rhume le matin d'un match, ne sachant pas qu’on retrouvait cette molécule interdite dans un décongestionnant nasal appelé Rhinofluimucil. D’après le quotidien Sud-Ouest le club plaide "l'erreur de jeunesse", et soutiendra ses protégés à la commission antidopage de la LNR auprès de laquelle ils sont convoqués mardi matin. Du côté d’Aurillac aucune information n’a pour le moment filtré, mais d’après une source proche du club le même médicament serait en faute.

Les trois joueurs mis en cause risquent une sanction allant du simple avertissement à la suspension de deux ans…

Merci à Arthur Bourdeau pour cet article ! Vous pouvez vous aussi nous soumettre des textes, pour ce faire, contactez-nous !

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  • ced
    100623 points
  • il y a 11 ans

oui c'est dingue, il existe des dizaines de spray naseaux et ils prennent le même, c'est vraiment une simple coïncidence.

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