Anciens clubs

Biarritz Olympique
Biarritz Olympique

De 2008 à 2013

Pro D2

Présentation

Nom : Wenceslas Lauret


Date de naissance : 28/03/1989


Lieu de Naissance : Hautes-Pyrénées


Nationalité : Française


Poste : 3ème ligne aile


Equipe actuelle : Racing Métro 92


Anciens clubs : Biarritz Olympique (jusqu'en 2013)
Pouyastruc (jusqu’en 2005)


Le parcours sportif de Wenceslas Lauret en quelques points :


 Dès le plus jeune âge, le jeune Wenceslas Lauret se tourne vers les sports individuels tels que la gymnastique et les sports de combat (Kung-fu, lutte, judo, taekwendo).


 Vers l’âge de 12 ans, un ami l’emmène à l’école de rugby de Pouyastruc où Wanceslas est vite repéré.


 4 ans plus tard, Lauret intègre un sport-études à Bayonne et signe ainsi à Biarritz.


 Ses performances en club ne laissent pas indifférent. Il intègre le pôle Marcoussis avec la génération Albert Ferrasse (2007-2008) en compagnie de Benjamin Fall et d’Alexandre Lapandry.


 Il intègre l’équipe première du Biarritz Olympique en 2009-2010 et gagne sa place de titulaire.


 Il est convoqué en Equipe de France pour la tournée d’été 2010 à tout juste 21 ans.


La suite est plus compliquée pour le joueur d'origine réunionnaise. Sa saison est gâchée par les blessures et le Biarrot manque le train de la Coupe du monde, devancé par son coéquipier Raphaël Lakafia.


Les mauvais résultats du Biarritz Olympique n'arrange pas ses affaires même si Philippe Saint-André garde un œil sur lui et l'emmène en tournée en Argentine.


En 2012-2013, Lauret est arrêté trois mois pour des commotions cérébrales à répétition mais revient à la compétition en fin de saison. Suivi par le Stade Toulousain, Lauret préfère s'engager avec le Racing Métro 92, séduit par le projet du club francilien, qui engage un autre international à son poste, le Gallois Dan Lydiate.


Wenceslas Lauret dans les douches :


Né en métropole de parents réunionnais, Wenceslas Lauret s’apparente aux nombreux joueurs du Pacifique du championnat de France à la différence qu’il est un français pur souche. Sa timidité dans la vie contraste avec la fougue qu’il peut mettre sur le terrain. Mais Lauret est avant tout un besogneux, un plaqueur-gratteur infatigable qui a réussi à s’imposer dans l’équipe biarrote dès ses premières apparitions. Une performance XXL pour celui qui rêvait de partager du temps de jeu avec son idole Serge Betsen. Ce dernier reste le modèle de « Wen » qui n’en finit pas de se plaire au Pays Basque non loin de ses Pyrénées natales.


Son prénom pour le moins exotique aurait pourtant des origines slaves. Wenceslas viendrait de « Vienetz » qui signifie couronne et « slava », la gloire. Déjà couronné par Marc Lièvrement, il ne manque plus que la gloire synonyme de titres pour ce jeune joueur à l’avenir prometteur.


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